Acteurs majeurs de l'innovation et piliers de la compétitivité de notre pays, les ingénieurs doivent être capables de développer des idées originales et de les mettre en oeuvre sur le marché. Or, à peine 5 % des ingénieurs créent leur entreprise au cours de leur carrière.
Comment former aujourd'hui les jeunes ingénieurs qui seront demain les acteurs des succès de la France ?

Un de nos invités au débat sur la fiscalité prévu le mardi 15 mars nous fait malheureusement défaut. Nous sommes contraints de reporter cette conférence à une date ultérieure que nous vous préciserons aussi rapidement que possible.

Nous tenons à vous présenter nos excuses désolées pour ce report de dernière minute. Soyez assuré qu'il est indépendant de notre volonté.

Merci de l'intérêt que vous témoignez à l'Institut Montaigne.

- Tous les débats de l'Institut Montaigne

Pour le cinquième volet de notre partenariat avec L'Etudiant/Educpros.fr, l’Institut Montaigne (1) fait le point sur la lutte contre les discriminations à l’embauche, des jeunes en particulier.

Impact, avec Françoise Guégot, Françoise Holder et Angèle Malâtre

Les femmes sont majoritaires dans l'administration (51%), mais seulement 16 % d'entre elles occupent des fonctions de direction. La même sous-représentation à haut niveau s'observe dans les entreprises. En janvier dernier, les députés ont adopté une proposition de loi visant à instaurer un quota de 40% de femmes dans les conseils d'administration des grandes entreprises d'ici 2017.

Tribune d'Angèle Malâtre (1) parue sur LeMonde.fr le 8 mars 2011

Il n'est désormais plus de semaine qui s'écoule sans que l'on n’évoque les “emprunts toxiques” dont auraient été victimes les collectivités locales. A y regarder de plus près, en examinant l’évolution du stock de dette locale dans le contexte des finances publiques de la Nation, il n'est pas sûr que les collectivités soient uniquement d’innocentes victimes.

Deux options sont désormais avancées par le gouvernement pour la réforme de la fiscalité du patrimoine : une réforme "en profondeur" ou une suppression intégrale de l'ISF. Cette deuxième option a la préférence de l'Institut Montaigne.

Longtemps considérée comme l’une des meilleures au monde, la formation des ingénieurs français souffre aujourd’hui d'une concurrence mondialisée. Nos écoles d’ingénieurs sont en effet absentes des classements internationaux, ou largement distancées.

Comment l’expliquer ? Aptitudes à faire naître l’innovation, compétences managériales et entrepreneuriales... les ingénieurs français sont-ils bien formés ?  Comment les rendre plus performants et plus compétitifs dans la mondialisation ?

En 1994, la Suède a procédé à une réforme structurelle de son système de retraite. Elle a ainsi instauré un système à la fois plus équitable, transparent et financièrement pérenne, mais qui ne sacrifie pas les générations futures. En France, cette réforme est souvent citée comme exemple. Mais comment cet accord transpartisan a-t-il été possible ?

EDF émet 45 grammes de CO2 pour produire un kilowattheure (kWh), c’est-à-dire "environ deux fois moins de gaz à effet de serre que la moyenne des acteurs français et dix fois moins que la moyenne européenne". Plusieurs facteurs, que détaille Ludovic Dupin dans un article de L’Usine Nouvelle (édition du 17 février), permettent de l’expliquer.

Les raisons développées dans l’article :

- l’importance du parc nucléaire français, "qui n’émet pas de gaz à effet de serre et fournit 86,9% de l’électricité produite" ;