Comment favoriser l’offre et la demande d’emploi dans la métropole européenne de Lille et tendre vers le plein-emploi, au service d’un développement économique et social bénéficiant à l’ensemble de son territoire et de sa population ?
En capitalisant sur les atouts techniques et réglementaires incontestables de la France, la blockchain a tout le potentiel d’une infrastructure numérique de confiance.
Le contournement dont les corps intermédiaires font l’objet interroge leur place et leur pérennité dans le dialogue social et démocratique. Ainsi, les corps intermédiaires doivent relever plusieurs défis pour se réinventer et réinvestir leur rôle de médiateur entre la société et l’État.
La France est-elle crédible aux yeux de ses partenaires dans l’Indopacifique ? Cette note d’enjeux énumère un ensemble de questions irrésolues et propose quatre pistes à même de renforcer la crédibilité de la France dans la région.
Blockchain : consolider nos atouts
Pour adresser la pénurie des talents dans les métiers du numérique, nous formulons 12 propositions s’appuyant sur 3 leviers : l’attractivité, l’offre de formation et, les capacités de pilotage.
Les flux transfrontaliers de données sont omniprésents dans notre société. Les États font face à un dilemme entre la protection des données et leur libre circulation. L'Europe est aujourd’hui confrontée au défi des États-Unis, dominant sur le plan numérique, et à la menace du modèle autoritaire chinois. Les décideurs politiques doivent mettre en place des mesures afin de renforcer la position de l’Europe.
Il nous faut identifier les technologies clés pour lesquelles nous avons encore un avantage compétitif. Tout l’enjeu consiste à trouver le point d’équilibre entre les opportunités et les risques.
L'IA est une opportunité unique pour la France et l'Europe de se positionner en leader d’une IA sûre et digne de confiance.
Comment repenser notre système de santé pour répondre aux besoins des patients et des professionnels de santé ?
Comment mener des politiques de résilience industrielle et de contrôle des transferts de technologie à la hauteur de risques géopolitiques actuels ?