De l’amitié en (géo)politique
La newsletter hebdomadaire de l'Institut Montaigne

Il est question d’amitiés et de jeux d’alliance cette semaine. Dans l’UE d’abord. Alors que nous célébrions mardi 9 mai la Journée de l’Europe, quel est l’état de la relation entre Paris et Berlin ? Régulièrement abordé sous le prisme de ses divergences, le “couple” franco-allemand peut-il encore jouer son rôle de moteur dans l’Union ? Si les amitiés de l’intérieur paraissent souvent fragiles, les partenariats extérieurs obéissent à des logiques plus ambiguës encore. C’est le cas notamment de la Chine, qui reste un partenaire économique de premier plan pour l’Europe, dans un contexte géopolitique toujours marqué par l’instabilité chronique. L’ami économique peut-il être, en même temps, l’ennemi politique ?

Hors de l’Europe, l’heure est au rabibochage. Entre l’Iran et l’Arabie Saoudite d’abord, par l’entremise de Pékin. Entre la Syrie et ses voisins ensuite. La Ligue Arabe, réunie le 7 mai au Caire, a ainsi décidé de réintégrer le pays dans son organisation. Bachar el-Assad, ancien paria, redeviendrait-il fréquentable dans la région ? Le défi est désormais de taille pour les Occidentaux. Amis de circonstance, partenariats d’intérêt ou alliés de longue date, on sait combien ces relations sont fragiles. Les évolutions des prochains jours - en Turquie, en Ukraine, mais aussi aux États-Unis et en Chine - pourraient sceller de nouvelles alliances ou entériner de prochaines ruptures. Face à ces grands mouvements, l’UE doit, plus que jamais, rester solidement unie. 




LIRE LA SUITE

LIRE LA SUITE


LIRE LA SUITE

LIRE LA SUITE


LIRE LA SUITE

LIRE LA SUITE


LIRE LA SUITE
Visualiser en ligne

Se désinscrire de cette liste

© INSTITUT MONTAIGNE 2024


Institut Montaigne

twitter  facebook  linkedin  youtube  instagram
Se désinscrire de cette liste

© INSTITUT MONTAIGNE 2024
Institut Montaignetwitter  facebook  linkedin  youtube  instagram