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Cette note évalue l’Impôt sur la Fortune (ISF) quant à son impact sur les revenus de l’Etat, la solidarité et l’économie. L’ISF rapporte très peu à l’Etat. Il a contribué à la fuite des capitaux et des patrimoines, privant le pays de ressources fiscales et de donateurs pour des œuvres solidaires. Le débat sur l’ISF est aujourd’hui un débat exclusivement idéologique. Pour avancer, il convient de se placer sur le strict terrain de l’efficacité et de dissocier le sujet de l’ISF du débat sur le niveau de progressivité idéal de l’impôt et les ambitions de l’État en matière de redistribution. La note prône la suppression de l’ISF, en suivant l’exemple d’autres pays européens. Il suffirait, selon les auteurs, que 20 000 français parmi les plus fortunés ne partent pas (et continuent de payer leurs impôts en France) pour que le bilan financier de la suppression de l’ISF soit positif. A l’ISF on préférera un impôt sur les  successions, ou l’impôt sur le revenu.
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