Des Français sceptiques sur la rapidité de la mise en œuvre du plan, et sur son impact positif pour leur situation personnelle
64 % des Français estiment que les décisions prises dans le cadre de ce plan de relance ne seront pas mises en œuvre rapidement et efficacement, dont 18 % pas du tout.
Concernant les conséquences du plan de relance, les Français doutent d’un impact positif sur leur situation personnelle (80 % non, dont 36 % pas du tout) et sur le territoire où ils vivent (65 % non, dont 17 % pas du tout).
Politiquement, seuls les électeurs d’Emmanuel Macron anticipent majoritairement une mise en œuvre rapide et efficace du plan de relance (62 % oui, 38 % non) et un impact positif sur le territoire dans lequel ils vivent (54 % oui, 45 % non). Toutefois, 3 électeurs sur 4 d’Emmanuel Macron (74 %) doutent d’un impact positif sur leur situation personnelle.
Les électeurs de François Fillon sont partagés sur la rapidité et l’efficacité de la mise en œuvre (49 % oui, et 50 % non), mais sont majoritairement sceptiques quant à l’impact positif sur leur situation personnelle (78 % non) et leur territoire (57 %).
Sur ces trois points, les autres électorats sont majoritairement sceptiques (impact situation personnelle 79 %-88 % non, impact territoire (65 %-75 %, et mise en œuvre 66 %-76 %).
L’impact positif du plan de relance sur leur situation personnelle et sur le territoire où ils vivent est remis en cause par la majorité des Français au sein de toutes les catégories de population, et de manière encore plus forte par les 50-64 ans (74 %-88 % non), les ouvriers (73 %-82 %), les habitants des communes rurales (70 %-86 %), des petites agglomérations (2 000 à 20 000 hab., 73 %-86 %) et des moyennes agglomérations (20 000 à 100 000 hab., 73 %-85 %).
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