Même après un référendum qui a mobilisé 85 % des inscrits, l’incertitude domine. [...] Comme lors du vote de 2018, la part du oui à l’indépendance est plus importante que prévu.
Les référendums sont observés sur place par l’ONU, par le Forum du Pacifique-Sud. Et l’antagonisme frontal a si bien reculé que les lignes de front se sont également dispersées : il y a ainsi plusieurs partis défendant le maintien dans la France et représentant peu ou prou la communauté caldoche et quelques minorités asiatiques ; il y a également plusieurs partis défendant l’option de l’indépendance et représentant largement les composantes du peuple kanak.
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