L’élection aux États-Unis d’un président plus soucieux d’écologie ne suffira pas à répondre au défi du réchauffement climatique.
Pourtant entre l’élection d’un démocrate, n’importe lequel serait-on tenté de dire, et la réélection de Donald Trump, il existe une différence considérable. Le monde ne peut se permettre d’avoir à la tête du pays qui est encore la première puissance mondiale (suivie désormais de près par la Chine) un clown rusé et habile certes, mais surtout, un cynique absolu, paresseux, imprévisible, déstructuré et enfin et avant tout, dangereux - comme l’élimination du Général Soleimani à Baghdad en a été l’illustration.
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