Conditionner l’immigration familiale, quelle que soit sa forme, à une évaluation des perspectives d’intégration de la famille en France et que la loi en fixe les critères en fonction de l’évolution économique et sociale du pays.
Développer l'usage des statistiques d'origine dans la politique de délivrance de titres de séjour.
Héberger les étrangers en situation irrégulière exclusivement dans des locaux dédiés, pour permettre de préparer leur éloignement du territoire et éviter l’embolie dans les centres d’hébergement d’urgence ("115").
Instaurer un guichet unique pour l’accueil des demandeurs d’asile et la limitation effective à six mois de la durée d’instruction de la demande (au lieu d’environ deux ans aujourd’hui).
Interdire les prêches qui portent une atteinte grave au principe d’égalité homme/femme et sanctionner pénalement ces atteintes.
Mettre en place un accès au fichier passage PNR ainsi qu'une carte d'identité biométrique.
Rendre obligatoire pour toute religion la constitution d'association cultuelle (ou son équivalent l'association diocésaine) pour la gestion des lieux de culte.
Lever les obstacles actuels à l’intégration des demandeurs d’asile, leur donner une autorisation de travailler sur le territoire et renforcer les moyens affectés à l’accès à l’apprentissage de la langue française.
Créer un visa humanitaire qui ouvrira aux personnes en situation de détresse humanitaire une voie d’accès légale et sécurisée au territoire français, pour un accueil et une protection temporaire.
Aligner le congé paternité sur le congé post-natal dont bénéficient les mères.
Etendre la procréation médicalement assistée (PMA) aux femmes seules et aux couples homosexuels.
Doubler le budget du ministère dédié aux droits des femmes, qui sera financé notamment par des amendes infligées aux partis politiques ne respectant pas la parité.
Créer un fonds pour l'égalité réelle Outre-mer de 2,5 milliards d'euros sur cinq ans.