Créer des Fabriques de culture, lieux artistiques pluridisciplinaires, avec une gestion partagée et participative. Ce nouveau modèle de lieu culturel portera des projets artistiques en co-construction entre pouvoirs publics, secteur culturel, associations et fondations.
Créer un ministère de la culture "hors-les-murs".
Créer un statut de l’artiste. Tout en préservant le statut de l’intermittent, prévoir une couverture sociale pour les artistes qui n’entrent pas dans le champ du spectacle comme les auteurs, les scénaristes ou les compositeurs. Ce statut pourra s’inscrire dans le cadre du statut unique de l’actif.
Lutter contre la concentration des médias en interdisant à un groupe de détenir plus de 40 % du capital d'une entreprise de médias ou de dépasser le seuil de 20 % dans plus de deux médias.
Porter l’effort public à 1 % du PIB, en créant un ministère de la Culture, des Médias et du Temps libre, et en soutenant le réengagement des collectivités locales pour lutter contre les inégalités entre les territoires.
Taxer les GAFA (géants du Web).
Mettre en place un "pass culturel" de cinq cent euros pour les jeunes.
Ouvrir les bibliothèques après 18 heures en semaine et le dimanche.
Rendre accessible à tous les enfants l’éducation artistique par des appels à projets qui seront financés par les villes et l’État, et pour ce faire, remettre des associations, des groupes, les conservatoires, des clubs de théâtre, dans l’école.
Maintenir un budget de la culture constant tout le long du quinquennat, par des redéploiements.
Taxer les GAFA (géants du Web).
Garantir l'indépendance éditoriale des rédactions grâce à un nouveau statut des entreprises de presse sur le modèle des trusts anglo-saxons.
Mettre en place un nouveau statut de l'entreprise de presse pour protéger l'indépendance des médias.
Créer un fonds d’investissement de 200 millions d’euros pour soutenir la création.